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Après avoir pratiqué de nombreux métiers dans son enfance en Iran, Karim Yousefi a débuté un CAP plaquiste un an après son arrivée en France. Et c’est vers notre entreprise qu’il s’est tourné pour réaliser ses stages.
Aujourd’hui en CDI, il fait preuve d’une solide envie de continuer sa formation chez Jean Goyty.
Une vie et une motivation qui forcent l’admiration.

1/ Depuis quand êtes-vous dans l’entreprise Goyty ?

Depuis septembre 2018, cela fait bientôt 4 ans.

2/ Quelle est votre spécialité dans l’entreprise ?

Je fais du placo, du plâtre et des bandes.

3/ Quel est votre parcours professionnel ?

J’ai commencé mon CAP plaquiste en 2017 au lycée Cantau. Pendant mes études, j’ai toujours effectué mes stages dans l’entreprise Jean Goyty. En 2019,  j’ai réalisé une mention complémentaire en placo. Cette année de spécialisation permet d’intégrer l’entreprise comme apprenti et ainsi comprendre encore mieux le métier, dans mon cas celui de plaquiste. C’est à la fin de cette année 2019 que je fut embauché en tant que salarié au sein de l’entreprise Goyty, en CDI.

4/ Pourquoi avoir choisi le plâtre plutôt qu’un autre métier du bâtiment ?

J’aime bien la technique. À 7 ans, je travaillais déjà comme maçon, entre autre, je posais des parpaings, j’étais aussi mécanicien ou bien… (silence) j’ai fait beaucoup de métiers différents (rires). Et j’allais en même temps à l’école, car en Iran, tu es à l’école par demi-journée. Durant une semaine, nous étions à l’école de 7h30 à 12h et la suivante de 12h à 17h. Un rythme de vie que j’ai gardé jusqu’à mes 14 ans et qui m’a permis de savoir ce que je voulais faire dans la vie. J’ai tenté de devenir maçon en Iran mais je n’étais pas en accord avec le patron. Question de salaire… Quand je suis arrivé en France à 16 ans, j’ai voulu être mécanicien mais ma mauvaise maîtrise de la langue ne m’a pas permis d’y arriver. On m’a alors orienté vers le lycée Cantau. Le côté technique du métier de plaquiste m’intéresse particulièrement.

5/Vous êtes donc originaire d’Iran ? 

Non, je suis né en Afghanistan, mais je suis arrivé en Iran avec mes parents à l’âge d’un an.

6/Avez-vous réalisé des formations depuis que vous êtes entrés chez Goyty ?

J’ai fait une formation échafaudage, des formations sécurité ; et bientôt une formation pour passer mon CACES nacelle.

7/ Depuis que vous êtes arrivés chez Goyty, y-a-t ‘il un chantier qui vous a marqué ?

À Villefranque, le chantier d’une maison de retraite car c’est moi qui ai fini le placo du chantier. Il y avait beaucoup d’angles et des coupes différentes.

Les chantiers sur les toits sont marquants car éprouvants lorsqu’il fait chaud.

8/ Avez-vous une anecdote particulière sur un chantier à nous raconter ?

Pas d’anecdote spéciale mais je peux préciser que l’on rigole souvent sur les chantiers.

9/ Quels sont vos 3 outils indispensables ?

Les gants, si je ne les ai pas je ne peux pas travailler. Le cutter, la visseuse et le mètre aussi. Bon, ça fait 4.

10/ Plutôt football ou rugby ?

Ni l’un, ni l’autre ; plutôt surfeur. J’en fais à Hendaye. J’ai découvert le surf en arrivant ici. Je vais me remettre au roller aussi, j’en faisais déjà en Iran. Je suis plutôt sport de glisse !

11/Pour le prochain repas d’entreprise, quel plat de résistance souhaitez-vous déguster ? Du poisson avec des légumes, du bœuf et de la salade ou un hamburger avec des frites ?

Plutôt la côte de bœuf. J’aime le poisson mais cela dépend si le chef est bon cuisinier. (rire)

12/ Comment définiriez-vous la philosophie de l’entreprise Jean Goyty ?

L’entreprise Jean Goyty est une bonne entreprise du Pays basque, qui respecte ses salariés et leurs qualités. Elle est très à cheval sur la sécurité et les règles de sécurité. Nous sommes bien équipés.